Qui sommes-nous?
Mont Blanc est un centre de ski et d’hébergement situé à 1h30 au nord de Montréal. Nous sommes le 2e plus haut sommet de la région des Laurentides. Avec plus de 300 employés, le Mont Blanc en résumé c’est :
43 pistes ▪ 3 versants ▪ 2 parcs à neige ▪ 18 chambres ▪ 19 condos
Mont Blanc est dorénavant ouvert 4 saisons!
Avec une offre d’été composée de la Zone MBpark et ses jeux d’eau géants ainsi que des sentiers de vélo de montagne conçu par Gravity Logic.
Historique Cette montagne
Vieille d’un milliard d’années, fut un jour transformée en pistes de ski et baptisée « Mont Blanc », un clin d’oeil à la plus haute montagne d’Europe. Elle fait partie d’un groupe de montagnes appelées « La Repousse » par les premiers colons qui devaient péniblement franchir ce passage en progressant vers les bonnes terres bordant les rivières Rouge et du Diable.
Gustave-Maurice (« Maurice ») Paquin, fondateur du Mont Blanc, était un grand sportif. Étudiant en droit à l’Université Laval, il donnait déjà des leçons de ski à de riches Américains visitant Québec au début des années 40. Cela l’a mené aux États-Unis pendant 10 ans après ses études. Il a construit des remonte-pentes dans les états du Utah, du Colorado et de la Californie.
Histoire du centre de ski
Avant l’achat par Maurice Paquin en 1957, la famille Dufour de Saint-Faustin avait opéré un monte-pente à câble à cet endroit pendant plusieurs années. C’était une activité pour les clients de l’hôtel Le Montagnard. Une pente avait aussi vu le jour à Lac-Carré, mais son exposition au sud voua l’entreprise à l’échec parce que la neige fondait trop vite. Cependant, le vrai début du centre date de 1976 lorsque le mont fut acheté par un groupe d’investisseurs américains. En 1981, les proprios annexaient le Mont-Faustin adjacent et, en 1991, un troisième sommet nommé Mont-Blanc Nord s’ajoutait avec dix nouvelles pistes.
Au début, les pistes étaient damées en raquette. Une piste fut nommée en l’honneur de l’un des raquetteurs: la Robert. Lorsqu’il y avait des endroits trop glacés, les employés et moniteurs pelletaient de la neige sur des tôles et transportaient cette neige sur les pistes grâce à ces traîneaux. La neige tapée avec les raquettes donnait une glisse exceptionnelle. Une innovation fut l’installation du nouveau « Poma lift », un remonte-pente beaucoup plus rapide que le « T-bar Mueller ».
Si les skieurs ne se rendent pas à la montagne, la montagne se rend aux skieurs. Au Mont Blanc, on utilisait une camionnette Bedford pour aller chercher les employés et les skieurs, entre autres de la base de plein air le P’tit Bonheur fondée en 1962 par le père Marcel de la Sablonnière S.J.